Que c’était beau!
Je suis passé du rire aux larmes et inversement, parfois en seulement quelques lignes.
Valentina est en plein deuil: sa meilleure amie, Azzura, est décédée d’un accident de la route. Elle laisse son mari, Frederico, et son bébé Bianca derrière elle.
Ce roman est une ode à l’amitié. Au lien filial qui peut se créer au-delà des liens du sang.
C’était si beau! Que j’aurai aimé avoir une amie comme Azzura.
On croit qu’on a la vie devant soi. On remet tout à plus tard, et on se laisse dominer par la peur, au risque de passer à côté de moments précieux… N’oublie jamais de saisir l’instant, ma biche.
L’écriture de Serena Giuliano n’est pas la plus poétique qu’il soit, et pourtant, elle a ce don de me faire vibrer. Elle me prend par la main, et m’implique à 100% dans son histoire. Ce roman est un énorme coup de cœur pour cette raison. Depuis combien de temps n’ai-je pas été tant touchée par un roman?
Je l’ai partiellement écouté au parc, lu par l’autrice, et c’était un délice d’entendre sa voix prononcer tout haut les prénoms des personnages « à l’italienne ».
Je suis Serena Giuliano sur les réseaux sociaux, alors il m’a semblé reconnaître quelques clins d’œils à sa vie, à ses précédents romans… et ça j’ai adoré!
Vraiment un roman plein d’amour dont je me souviendrai longtemps.
La mort peut bien venir tout gâcher ; ceux qui s’aiment continueront de s’aimer malgré elle.